

A l’image des thèmes et variations d’une mélodie, le réseau exprime une identité d’ensemble, où chaque gare est un projet singulier qui partage un air de famille avec toutes les autres gares. Afin de contribuer à l’homogénéité de la gare et de renforcer ainsi la fluidité du parcours, cette thématique unique, que nous nommons concept d’insistance, est appliquée à l’ensemble des volumes et séquences de la gare. [ + ]
A l’image des thèmes et variations d’une mélodie, le réseau exprime une identité d’ensemble, où chaque gare est un projet singulier qui partage un air de famille avec toutes les autres gares.
Afin de contribuer à l’homogénéité de la gare et de renforcer ainsi la fluidité du parcours, cette thématique unique, que nous nommons concept d’insistance, est appliquée à l’ensemble des volumes et séquences de la gare. Les espaces, les parois, les plafonds, les éléments de second œuvre, etc. se déclinent autour de cette thématique.
La recherche de sobriété traduit une ligne de conduite pour chaque gare. Celle-ci ne pourra pas relever d’une accumulation d’intentions architecturales disparates.
Le concept d’insistance, qui décrit les qualités des éléments architecturaux, doit assurer une :
– Maîtrise technique et constructive
– Maîtrise et déclinaisons d’une famille de matériaux
– Maîtrise de la lumière naturelle
– Maîtrise de la lumière artificielle générale
– Maîtrise de l’acoustique
– Maîtrise de l’intégration des équipements
Dans la gare, le parcours se fait au sein d’une architecture déclinant une thématique unique et répondant à l’objectif d’une architecture sobre.

Dans l’émergence, le contraste entre l’intérieur et l’extérieur est réduit : le sol est continu entre le parvis et l’accueil, la lumière naturelle est la plus intense possible, et l’éclairage artificiel tente au maximum de reproduire cette lumière naturelle. Le hall d’accueil est construit à une mesure humaine tout en privilégiant des hauteurs généreuses, afin d’éviter le sentiment d’enfermement lié à l’engouffrement. [ + ]
Dans l’émergence, le contraste entre l’intérieur et l’extérieur est réduit : le sol est continu entre le parvis et l’accueil, la lumière naturelle est la plus intense possible, et l’éclairage artificiel tente au maximum de reproduire cette lumière naturelle.
Le hall d’accueil est construit à une mesure humaine tout en privilégiant des hauteurs généreuses, afin d’éviter le sentiment d’enfermement lié à l’engouffrement.
Les parcours vers les différentes directions (ville, réseau, correspondance, inter-modalité) sont aménagés de façon lisible et fluide, sans pour autant être sur-indiqués : l’homogénéité de l’espace doit être respectée, tout en trouvant un équilibre avec les statuts directionnels des parcours dirigés.
Un maximum d’ouverture et de vues cadrées sur la ville sont privilégiées.
Ces cadrages sont également disposés de manière à guider intelligemment le voyageur vers la sortie.
Dans le cas d’une correspondance effectuée par un couloir, celui-ci fait apparaitre progressivement le réseau de Grand Paris, par une intensification de l’identité le long du cheminement de l’usager.

Dans la continuité du hall d’accueil, le passage du contrôle est un seuil important : l’entrée dans la zone sous contrôle du réseau, où les cheminements seront dirigés au maximum. Ici, la transition doit rester fluide mais le seuil est marqué, aussi bien physiquement que de manière symbolique, avec l’idée qu’un jour il n’y aura probablement plus de portillons mais qu’il sera cependant toujours nécessaire d’indiquer l’entrée de la zone sous contrôle. [ + ]
Dans la continuité du hall d’accueil, le passage du contrôle est un seuil important : l’entrée dans la zone sous contrôle du réseau, où les cheminements seront dirigés au maximum.
Ici, la transition doit rester fluide mais le seuil est marqué, aussi bien physiquement que de manière symbolique, avec l’idée qu’un jour il n’y aura probablement plus de portillons mais qu’il sera cependant toujours nécessaire d’indiquer l’entrée de la zone sous contrôle.
La continuité des matériaux sur les murs et les plafonds montre toujours l’homogénéité du parcours : le voyageur passe un seuil, mais au sein d’un même espace indivisible.
L’entrée dans la zone sous contrôle et vers le système de circulation est maîtrisée à travers un espace d’articulation, après la ligne de contrôle : l’amorce, qui marque le début de la descente dans le puits.
Cette amorce vers la descente est compréhensible, dans une visibilité maximale des espaces successifs.


