Dans la continuité du hall d’accueil, le passage du contrôle est un seuil important : l’entrée dans la zone sous contrôle du réseau, où les cheminements seront dirigés au maximum. Ici, la transition doit rester fluide mais le seuil est marqué, aussi bien physiquement que de manière symbolique, avec l’idée qu’un jour il n’y aura probablement plus de portillons mais qu’il sera cependant toujours nécessaire d’indiquer l’entrée de la zone sous contrôle. [ + ]
Dans la continuité du hall d’accueil, le passage du contrôle est un seuil important : l’entrée dans la zone sous contrôle du réseau, où les cheminements seront dirigés au maximum.
Ici, la transition doit rester fluide mais le seuil est marqué, aussi bien physiquement que de manière symbolique, avec l’idée qu’un jour il n’y aura probablement plus de portillons mais qu’il sera cependant toujours nécessaire d’indiquer l’entrée de la zone sous contrôle.
La continuité des matériaux sur les murs et les plafonds montre toujours l’homogénéité du parcours : le voyageur passe un seuil, mais au sein d’un même espace indivisible.
L’entrée dans la zone sous contrôle et vers le système de circulation est maîtrisée à travers un espace d’articulation, après la ligne de contrôle : l’amorce, qui marque le début de la descente dans le puits.
Cette amorce vers la descente est compréhensible, dans une visibilité maximale des espaces successifs.